Rapport de séjour
Informations sur le séjour de mobilité
- Période du séjour à l’étranger: 2015-09-02 - 2016-01-08
- Pays et ville du séjour: Istanbul, Turquie
- Programme de mobilité: Profil international
- Nom de l’établissement d’accueil: Autre établissement
- Programme d’étude: Baccalauréat intégré en Études internationales et langues modernes
- Faculté: Lettres et des sciences humaines
- Courriel de l'étudiant:
- Coup de
Évaluation générale du séjour à l’étranger
Appréciation générale de votre séjour
Avant le départ
Visa
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Avez-vous eu besoin d’un visa?
Oui
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Délai de réception du visa
1 à 2 semaines
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Commentaires ou conseils à donner à des étudiants pour le processus de demande de visa?
Pour appliquer pour un permis de résidence en Turquie; les étudiants canadiens ont besoin d’un visa étudiant émis par l’ambassade de la Turquie à Ottawa. Toute la procédure peut se faire par la poste et cela se fait assez rondement. À mon avis; il est préférable de ne pas le demander trop tôt; puisque le visa est activé au moment où il est émis par l’ambassade. Ainsi; si l’étudiant le reçoit très tôt avant son départ; il bénéficie d’un visa valide pour une plus courte période une fois arrivé à destination. Concrètement; je ne pense pas que cela affecte l’obtention du permis de résidence que le visa soit expiré ou non. *À noter : l’ambassade délivre généralement des visas à entrée simple. Cela veut dire que l’étudiant ne peut pas sortir de la Turquie sans avoir à payer un visa touristique avant l’obtention de ses papiers de résidence. J’ai reçu les miens trois semaines avant mon départ... Il peut être intéressant de voir avec l’ambassade si elle peut fournir un visa étudiant permettant des sorties multiples. Lien vers le formulaire pour le visa : http://ottava.be.mfa.gov.tr/ShowInfoNotes.aspx?ID=121781:
Préparation générale
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Cinq choses à apporter, autre que votre ordinateur et votre appareil photo?
Équipement lié à ton sport préféré (course; escalade; boxe... Ça me semble généralement plus cher ici)Vêtements chauds (il neige à Istanbul en ce moment)Des éléments de culture à partager (nourriture; jeux...)Du beurre d'arachide pour les accros (super cher et pas très bon ici)De quoi voyager léger (il y a une multitude d'idées de voyage pour les fins de semaine; ça serait dommage de passer à côté)
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Si l'expérience était à refaire, y a t-il des aspects de votre préparation auxquels vous accorderiez plus d'importance ou que vous feriez autrement?
Trop de préparation; c’est aussi bien que pas assez. La meilleure façon; à mon avis; de se préparer à débarquer en Turquie; c’est de ne pas se faire d’image de ce à quoi ça va ressembler avant d’y être. Même là; il faut attendre plusieurs semaines avant de vraiment pouvoir se faire une tête. Au moment où tu penses savoir quelque chose sur la Turquie pour sûr; il se passera quelque chose qui te prouvera le contraire. La Turquie est belle de sa diversité et de ses paradoxes. Se faire trop d’attentes risque de gâcher l’émerveillement dubitatif qui t’attend et qui marque encore chaque jour que je passe ici. Ceci étant dit; je ne pense pas qu’il ne faille qu’un billet d’avion pour s’installer à Istanbul. Je me suis préparée en me tenant informé de l’actualité turque durant les mois précédant mon départ et en apprenant quelques rudiments de turc et cela a payé. Le système politique turc est très complexe; à l’image de son pays. S’informer sur les sujets chauds et les clivages majeurs du moment t’aidera à saisir ce qui se passe avec plus de nuances. Si c’était à refaire; j’apprendrais mieux la langue. Je sais demander mon chemin; commander; compter; dire ce que je veux ou cherche; encourager des grimpeurs en turc; mais je sens que je passe à côté de belles petites conversations simples quotidiennement simplement parce que mon vocabulaire n’est pas assez approfondi. Ça vaut vraiment l’effort. Les gens ici ne parlent pas tous très bien anglais. À certains endroits; c’est même impossible de trouver quelqu’un sachant le baragouiner. De plus; les locaux sont véritablement émerveillés quand un étranger s’adresse à eux dans leur langue. Vraiment; ça vaut le coup.
Accueil
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Appréciation générale de l'accueil que vous avez reçu:
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Décrivez les aspects de la structure d’accueil de votre milieu d’études ou de stage que vous avez le plus appréciés (mesures et programmes d’accueil, personnes-ressources, journées d’orientation, etc.):
D’un côté; j’estime que Sabanci a vraiment fait un effort pour nous guider dans la panoplie de paperasse qui nous attendait. D’un autre; j’ai aussi l’impression d’avoir rempli beaucoup de papiers inutiles. L’université nous a envoyé beaucoup de messages expliquant la marche à suivre; trop même. Durant la première semaine de cours; j’étais complètement débordée pour me rendre compte quelques semaines plus tard que ce que nous avions à faire n’était; en fait; pas si compliqué. Je reste avec l’impression que Sabanci est pleine de bonnes intentions; mais manque d’expérience. Il faut dire que cette université est; comme moi; née en 1994!
Études et stages
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Appréciation générale des activités académiques ou de stage:
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Pour les séjours d'études: Les cours suivis (niveau et pertinence, charge de travail, modes d'évaluation, horaire, méthodes pédagogiques des enseignants, etc.) Pour les stages: La charge de travail, les tâches, l'horaire, les modes d'évaluation, etc.
J’ai consulté la liste des cours offerts un jour avant la date d’inscription. J’ai fait la liste des cours et des combinaisons de cours pouvant convenir à mon cheminement. Le jour de l’inscription; j’ai fait mon choix final en fonction des plages horaires. Plusieurs classes étant offertes au même moment; ce qui a réduit considérablement mes choix. Sabanci utilise une interface en tout point similaire à Capsule (ce que l’Université Laval utilise présentement). Pour les étudiants de l’UL; ça facilite les choses. Le bureau international nous a envoyé un message détaillé expliquant la marche à suivre. Je ne l’ai pas lu en profondeur; mais j’aurais dû! La page Facebook des étudiants d’échange est également très utile; bien qu’elle devienne très chargée lors des inscriptions. Tout le monde y publie ses questions et y partage ses pépins.
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Encadrement et support académique (interaction avec les professeurs et disponibilité, structure des cours, etc.) ou encadrement dans votre lieu de stage (interaction avec le superviseur de stage et les collègues, etc.) :
Ce qui m’a le plus déplu à Sabanci; ce n’est pas que les cours étaient trop difficiles ou trop faciles; mais qu’ils n’étaient pas uniformément difficiles. Le contenu de Politique Européenne s’approchait beaucoup de ce à quoi un étudiant de l’UL peut s’attendre d’un cours de politique comparée. La charge de travail était semblable à ce que j’ai expérimenté à l’UL. Postorientalisme et Postcolonialisme; offert aux étudiants à la maitrise et au baccalauréat comme Politique européenne; demandaient une charge de lecture à la limite du possible. Les deux cours de Relation internationale que j’ai suivis étaient beaucoup plus faciles que tous les cours que j’ai suivis à l’UL. La charge de travail pour ces cours était très basse et le contenu restait en surface. Dans tous les cas; il m’a paru plus facile d’obtenir des notes élevées à Sabanci qu’à l’UL. Les évaluations en sciences humaines prennent généralement la forme de questions à essai de 2 à 4 pages; certains cours ont recours aux choix multiples. La langue n’est pas évaluée (tout est en anglais).
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Qualité des services administratifs et facilité à obtenir de l’information et les documents demandés (relevé de notes, carte étudiante, etc.) :
Tout semble plus long et plus compliqué que nécessaire en Turquie; mais tout finit par fonctionner... il faut s'armer de patience pour y faire son échange.
Vie universitaire et environnement de stage
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Appréciation générale de la vie universitaire et environnement de stage:
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Services offerts au sein de votre établissement d'accueil (centre sportif, bibliothèque, accès Internet, etc.) :
Étant mordue d’escalade; j’ai beaucoup apprécié d’avoir accès à un mur de blocs sur le campus. Ce type d’infrastructure est assez rare en Turquie. Être membre du club de plein air t’y donne accès en tout temps; moyennant ta carte étudiante. Je pouvais m’y installer pour m’entrainer tranquillement avec ma musique. Si ce n’avait pas été de cette salle; je pense que je me serais vraiment ennuyée durant mes longues pauses du mercredi. Sabanci n’offre pas beaucoup d’options aux étudiants qui souhaitent simplement s’assoir et relaxer sur le campus. On y trouve plusieurs cafés et restaurants; mais les prix sont ridiculement élevés en comparaison avec les prix normaux en ville. Je n’ai pas utilisé la salle d’entrainement; mais mes amis et colocataires semblent la trouver adéquate.
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Possibilité d'implication au sein de votre établissement d'accueil (comités, voyages, groupe de recherche, etc.) :
Il semble y avoir beaucoup de clubs divers à Sabanci. Je me suis impliquée que dans celui de plein air; qui organise malheureusement que peu d'évènements durant la session d'automne.
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Dans le cas d'un séjour d'études, y a-t-il des possibilités de travail et/ou de stage, sur le campus ou à l'extérieur?
Probablement; mais je ne m'y suis pas attardée.
Vie pratique et pays d'accueil
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Appréciation générale de la qualité de vie dans votre pays d'accueil:
Budget
Merci de détailler approximativement vos dépenses de base en dollar canadien. Ceci aidera grandement les futurs participants à planifier leur budget.
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Livres (/session) :
40$
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Logement (/mois) :
450$
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Mode de paiement (loyer) :
0$
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Aviez-vous accès à une cuisine?
Oui
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Transport (/mois) :
30$
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Autres :
125$
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Précisions :
Abonnement gym escalade de Kadikoy
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Avez-vous eu à faire des dépenses inattendues? Précisez :
Plusieurs petites dépenses liées à la bureaucratie (10 à 50 $ chacune); par exemple; pour obtenir mon tax number" pour le permis de résidence. Le service de transport offert par l'Université est plus cher que ce à quoi je m'attendais (15 lires par jour). Je m'attendais à utiliser le transport en commun."
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Est-ce que certains éléments étaient plus ou moins chers que ce que vous pensiez? Précisez :
La nourriture est généralement beaucoup moins chère qu’au Canada... sauf celle que l’on trouve sur le campus de Sabanci. Je recommande définitivement de vivre en ville; à Kadiköy ou ailleurs; et d’apporter son lunch!
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Quel était votre budget et comment avez-vous géré votre argent (ouverture d'un compte de banque, etc.)?
Comme je restais en Turquie que pour quatre mois; je n’ai pas ouvert de compte en Turquie. J’ai payé mon épicerie avec ma carte de crédit; ce qui m’a permis de garder une trace de mes dépenses hebdomadaires. Pour le reste; j’ai retiré 850 lires (environ 405 $ CAN) toutes les deux à trois semaines; moyennant des frais de 4 $. J’ai préféré retirer mon loyer en argent comptant pour profiter du faible taux de change de la lire. En payant par virement bancaire; le montant du loyer aurait été débité en euro; ce qui ne m’avantageait pas.
Logement
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Appréciation générale de votre logement :
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Précisez le type de logement :
Appartement en colocation
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Propreté, règles à respecter, meublé ou non, services à proximité, etc. :
J’ai eu la chance de tomber sur des colocataires impeccables. Je connaissais l’un d’entre eux de l’UL; mais pas les trois autres avant d’arriver à Istanbul. J’ai résidé dans l’un des blocs appartements réservés aux étudiants du programme Erasmus. Cela a été un choix intéressant pour l’environnement social; car c’est facile de s’y faire des amis et de se tisser un réseau rapidement. D’autant plus que celui de Kadiköy est beaucoup plus tranquille que ceux sur la côte européenne. Toutefois; ces appartements me semblent maintenant chers pour la qualité du mobilier et des logements en général. Tout ce qui pouvait possiblement couler coulait... douche; évier; machine à laver! Mes amis vivant ailleurs dans le même quartier se sont trouvé de très beaux appartements pour moins cher.
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Recherche et accès au logement (comment, quand et en combien de temps l'avez-vous trouvé, un quartier ou un type d'habitation à privilégier?) :
J'ai trouvé mon appartement via la page web Craigslist avant de quitter le Québec. Plusieurs de mes connaissances ont fait le choix inverse et ont attendu d'être sur place pour chercher et visiter des appartements. Si c'était à refaire; je crois que je ferais la même chose.
Santé et sécurité
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Quel a été le niveau de sécurité ressenti lors de votre séjour hors Québec et sur le campus de l'Université :
Plutôt sécuritaire
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Recommandations:
Suivre les nouvelles. Je vivais à Istanbul au moment des manifestations anti-kurdes de septembre; de l’attaque à la bombe à Ankara ainsi que durant les élections; mais je ne me suis jamais sentie directement menacée. L’important; c’est de se tenir au courant et d’éviter les foules agitées. Certaines de mes amies ont eu de mauvaises expériences le soir lorsqu’elles rentraient seules chez elle. Je n’ai aucune expérience du genre à partager. Istanbul me semble raisonnablement sécuritaire pour une ville si grande; mais elle demeure une mégapole.
Adaptation culturelle et sociale
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Appréciation générale de votre adaptation et intégration dans votre nouveau milieu de vie :
Veuillez décrire les aspects suivants de votre adaptation et de votre vie sociale :
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Contact avec la population locale et création de nouvelles amitiés (créer des liens, intégrer des cercles sociaux, recommandations, etc.) :
Apprendre quelques phrases clefs en turc et les utiliser ad nauseam. Opter pour les petits commerces pour apprendre à connaitre son épicier; son boulanger; son vendeur de Çig köfte... Je me suis faite ''pote'' avec la plupart des commerçants que je côtoie et cela m’a amené à gouter toute sorte de produits que je n’aurais probablement même pas remarquée. Participer aux activités d’un club au moins au début du semestre. Je n’ai pas fait beaucoup de choses avec mon club de plein air; mais LA randonnée à laquelle j’ai pris part m’a permis de me faire des amis et de rencontrer des partenaires d’escalade turcs.
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Quels ajustements avez-vous dû faire pour bien vous adapter?
Aucun me venant en tête. Oh si! J'ai dû ralentir le pas en ville... Les Stambouliotes ne marchent pas vite sur le trottoir et il n'est pas rare de rester pris dans un bouchon de circulation de piétons.
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Quels aspects de la culture de votre pays d'accueil avez-vous appréciés ou avez-vous trouvé difficiles?
En vrac L'hospitalité turque est aussi légendaire que vraie. C'est dur de payer son repas quand tu sors avec des amis turcs; que tu sois une fille ou non. Je m'y adapte encore mal. Disons simplement que la Turquie n’est pas le pays de la liberté d’expression toute puissante. Je t’encourage à lire les journaux locaux; car c’est souvent le meilleur moyen d’être informé de se qui se passe à l’intérieur du pays rapidement. Toutefois; il faut savoir lire entre les lignes et décoder ce que les journalistes ne peuvent pas se permettre de mettre en mots. C’est flagrant lorsqu’il est question de sujets tendus comme le conflit avec la minorité kurde. Critiquer directement le parti au pouvoir est aussi pratiquement impensable. *Source assez fiable en anglais http//www.hurriyetdailynews.com N’hésite pas à demander à tes professeurs leur avis avant d’adopter un média. Sabanci est connue pour être l’un des bastions progressistes d’Istanbul. On y trouve des enseignants assez critiques du parti au pouvoir. La cuisine turque est beaucoup plus variée que ce à quoi je m’attendais; surtout dans le rayon végétarien. Belle surprise ! Je cultive une haine sans borne pour la bureaucratie turque. Souvent exaspérante; parfois frustrante; ce n’est pas la peine de lutter. Plus tu te débattras et essaieras d’y chercher un sens; plus elle t’étouffera. Exactement comme le filet du diable dans Harry Potter. J’exagère sans doute un peu; mais force est d’admettre que tu devras passer par plusieurs étapes bureaucratiques en apparence parfaitement inutiles durant ton séjour. Vaut mieux le savoir d’avance et s’y faire! Au moins; tes potes d’échange et toi serez tous dans le même bateau.
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Apprentissage de la langue
Je regrette de ne pas avoir eu l'occasion de suivre des cours de turc à l'université. Je comprends la direction de mon programme dans son refus d'accepter le turc comme un cours lié à mon bac; mais je trouve cela dommage malgré tout. La langue est définitivement ce qui m'a le plus limitée durant mon séjour. Toutefois; apprendre le turc par soi-même pour savoir converser simplement n'est pas du tout impossible. Le turc; par exemple; ne comprend aucun verbe irrégulier! Aussi; une partie significative de son vocabulaire provient du français et l'arabe. Pour des étudiants québécois qui étudient l'arabe; c'est une belle occasion de jouer à chercher les mots que je reconnais"."
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Avez-vous des recommandations quant à l'adaptation et l'apprentissage de la langue?
J'ai suivi un petit cours de turc avec Babel avant mon départ et cela m'a beaucoup aidé. Si tu souhaites vraiment poursuivre ton apprentissage une fois en Turquie; tu peux assister aux cours de turc sans t'y inscrire. Les professeurs de Sabanci sont généralement très ouverts à l'idée.
Faire le point
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En général, que retenez-vous de votre expérience?
Au moment d'écrire ce rapport; j'ai encore les deux pieds en Turquie. Il me semble donc un peu prématuré de faire le point. Cependant; je peux dire avec certitude que je ne retiendrai que du bon de mon expérience à Istanbul. La Turquie est un pays magnifique et fascinant. Il fait bon y vivre. La nourriture est bonne; les fruits et légumes frais et abordables; les gens gentils. Je sais que je vais y retourner bientôt; que ce soit pour faire de l'escalade ou simplement pour explorer des régions que je n'ai pas eu le temps de voir.
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Autres commentaires ou conseils à adresser aux futurs participants :
Ne pas vivre sur le campus de Sabanci. C'est mort; c'est cher. S'informer des prix des logements avant de signer un bail. Je paie actuellement trop cher pour le mien. Ne pas chercher à acheter des produits importés (fromages; tofu; produits de cuisine asiatique...) et opter pour les produits locaux. Ils sont beaucoup moins chers et certainement plus... intéressants. Si ta première impression d'Istanbul est celle de la côte européenne (là où la plupart des sites touristiques sont situés); n'en reste pas là. Je réalise maintenant que j'adore Istanbul parce que je ne passe que très peu de temps dans ce coin-là. Dans les zones touristique; c'est difficile d'avoir la paix; mais c'est tout le contraire où j'habite (Kadikoy).
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Merci d'inscrire l'adresse de votre blogue de voyage ou de toute autre adresse Internet qui vous a été utile pour votre séjour :
Si ta première impression d'Istanbul est celle de la côte européenne (là où la plupart des sites touristiques sont situés); n'en reste pas là. Je réalise maintenant que j'adore Istanbul parce que je ne passe que très peu de temps dans ce coin-là. Étrangement; je n'aime pas me faire crié Princesse; princesse!" à tout bout de champ P Blague à part; il est vrai que dans les zones touristiques; il difficile pour les étrangers d'avoir la paix; mais ce n'est pas le cas dans les autre quartiers."